Jules Verne naît le 8 février 1828 à
Nantes, en France, et meurt le 24 mars 1905 à Amiens. Il est un écrivain
français qui a produit grand nombre de romans, surtout, de science-fiction,
d'entre outres genres.
Aux 11 ans il s’échappe de chez lui
(en 1839) pour arriver en bateau jusqu’à l’Inde pour y acheter un collier de perles pour sa cousine
Caroline, dont il était pris, mais son père le lui empêche. C’est à partir de
ce moment où il commence à écrire ses œuvres, bien qu’il est attiré vraiment
par l’écriture lorsque sa maître lui raconte des anecdotes de son mari, un
marinier.
Verne commence ses études de Droit
aux 18 ans (en 1847) à Paris. Il finit ses études en 1848 et reste à Paris, où
il écrit une œuvre de théâtre appelée Aleixandre Vi qui ne connaît pas trop de
succès. Il étude de la philosophie, mais commence son travail comme avocat pour
contenter son père. Il est rapproché
vers les cercles littéraires par son oncle Châteauburg, et connaît
Aleixandre Dumas (père et fils), étant le père celui qui lui inspire à
plusieurs de ses œuvres.
Il écrit plus de 70 œuvres :
- Cinq semaines en ballon (1863)
- Voyage au centre de la Terre (1864)
- Le Comte de Chanteleine (1864), publié en revue seulement; première publication en volume en
1971
- De la Terre à la Lune (1865)
- Les Aventures du capitaine
Hatteras (1867), publié en deux
parties : Les Anglais au Pôle Nord (1866) et Le désert de glace
(1866)
- Les Enfants du capitaine Grant (1868), publié en trois parties : L’Amérique du Sud (1866); L’Australie
(1866) et L’Océan Pacifique (1867)
- Vingt mille lieues sous les mers (1870), publié en deux parties (1869 et 1870)
- Autour de la Lune (1870)
- Une ville flottante (1871)
- Les Forceurs de blocus (1871), publié à la suite d’Une ville flottante
- Une fantaisie du docteur Ox (1872), repris dans Le
Docteur Ox en 1874
- Aventures
de trois Russes et de trois Anglais dans l'Afrique australe (1872)
- Le Tour du monde en
quatre-vingts jours (1873)
- Le Pays des fourrures (1873)
- L'Île mystérieuse (1874-1875), publié en trois parties : Les naufragés de l’air
(1874), L’Abandonné (1875) et Le secret de l’île (1875)
- Le Chancellor (1875)
- Michel Strogoff (1876)
- Hector Servadac (1877)
- Les Indes noires (1877)
- Un capitaine de quinze ans (1878)
- Les Cinq Cents Millions de la
Bégum (1879)
- Les Tribulations
d'un Chinois en Chine (1879)
- La Maison à vapeur (1880)
- Dix heures en chasse (1881), publié à la suite du Rayon
vert
- La
Jangada (1881)
- L'École des Robinsons (1882)
- Le Rayon vert (1882)
- Kéraban-le-Têtu (1883)
- L'Étoile du sud (1884)
- L'Archipel en feu (1884)
- Frritt-Flacc (1884),
publié à la suite d’Un billet de loterie
- Mathias Sandorf (1885)
- Robur le Conquérant (1886)
- Un billet de loterie (1886)
- Nord contre Sud (1887)
- Le Chemin de France (1887)
- Gil
Braltar (1887), publié à la suite
du Chemin de France
- Deux ans de vacances (1888)
- Famille-sans-nom (1889)
- Sans dessus dessous (1889)
- César Cascabel (1890)
- Mistress Branican (1891)
- Le Château des Carpathes (1892)
- Claudius Bombarnac (1892)
- P'tit-Bonhomme (1893), a
aussi été republié sous le titre Fils d’Irlande
- Mirifiques Aventures de maître
Antifer (1894)
- L'Île à hélice (1895)
- Face au drapeau (1896)
- Clovis Dardentor (1896)
- Le Sphinx des glaces (1897)
- Le Superbe Orénoque (1898)
- Le Volcan d'or (1899)
- Le Testament d'un excentrique (1899)
- Seconde patrie (1900)
- Le Village aérien (1901), d’abord publié sous le titre La Grande Forêt
- Les Histoires de Jean-Marie
Cabidoulin (1901), a aussi été
republié sous le titre Le serpent de mer
- Les Frères Kip (1902)
- Bourses de voyage (1903)
- Un drame en Livonie (1904)
- Maître du Monde (1904)
- L'Invasion de la mer (1905)
Œuvres posthumes :
- La
Journée d'un journaliste américain en 2889 (1891), publiée en 1910 dans Hier et
demain
- Aventures de la famille Raton (1891), publiée en 1910 dans Hier et
demain
- Monsieur Ré-Dièze et
Mademoiselle Mi-Bémol (1893), publiée en 1910
dans Hier et demain
- Le Beau Danube jaune (1896), publié en 1908 sous le titre Le Pilote du Danube et en 1988
dans sa version d’origine
- En Magellanie (1897),
publié en 1909 sous le titre Les Naufragés du « Jonathan »
et en 1987 dans sa version d’origine
- Le Volcan d'or (1900),
publié en 1906 en version remaniée et en 1989 dans sa version originale
- Le Secret de Wilhelm Storitz (1901), publié en 1910 en version remaniée et en 1985 dans sa version
d’origine
- La Chasse au météore (1901), publié en 1908 en version remaniée et en 1986 dans sa version
originale
- Le Phare du bout du monde (1903), publié en 1905 en version remaniée et en 1999 dans sa version
originale
- Voyage d'étude (1904),
inachevé, utilisé par Michel Verne comme inspiration pour L'Étonnante Aventure de la
mission Barsac, publié pour la première fois en 1993 dans San
Carlos et autres récits
- Edom (1905), publié en 1910 dans Hier et
demain sous le titre L'Éternel Adam, et en 1986 dans sa
version originale, à la suite de La Chasse au météore
- Une ville saharienne
- (Et d’autres)
On
peut décrire ce personnage comme obsessive. Il ressentait une curiosité si
forte que lui empêchait dormir et manger. Il avait besoin de savoir plus et de
découvrir des choses inconnues tout le temps. Ce caractère lui mène à une
maladie constante dans son intestin qui lui produisait des diarrhées, de
l’incontinence fécale et des troubles nerveux qui lui ont défiguré le visage et
lui ont occasionné une paralyse faciale. Il trouve ces problèmes au point
d’écrire à sa mère en lui racontant tout.
En
1850, aux 22 ans, il écrit une comédie légère, Les pailles cassées qu’il présente à Paris grâce à Dumas. L’année
suivante, il publie sur le magasin illustrée « Le musée des
familles » deux histoires : Martín
Paz et Un drame en Mexique.
Durant un voyage pour visiter la sœur d’Honorie, sa deuxième femme, il
prend un bateau pour partir vers l’Ecosse, forçant sa femme à rentrer toute seule
à Paris à cause de sa grossesse et en disparaissant jusqu’à sa rentrée. Après, il voyage en
Norvège et au Danemark. Finalement, il abandonne Honorie quand son fils Michel
naissait.
Dans ses œuvres de science-fiction, il semble un prophète. Il mentionne,
déjà au XIX siècle l’apparition des hélicoptères, des télévisions, les
sous-marins et d’autres avances technologiques pas connus encore. Il y a une
œuvre un peu spéciale (s’il y en a quelqu’une qui ne le soit pas) où il décris
la société parisienne du XXe siècle comme une société où les gens sont obsédés
par l’argent, les fax et où tout le monde sait lire, mais personne ne lit.
Cette œuvre a été publié en 1994 après son découverte à côté d’un manuscrit que
son éditeur Hetzel lui dédie. Sur ce manuscrit on aperçoit des détails
mystérieux (si l’on veut appeler comme ça). Hetzel lui écrit que s’il serait un
prophète, personne ne croirait ses prophéties.
Casualité ? Peut-être, mais personne ne peut nier que ses œuvres,
comme l’histoire de sa vie, ont été entourés de mystères. Son enfance, sa
jeunesse, ses maladies, son influence dans la société à côté de la Société
Angélique, ses relations familiaires, sa mort… tout dans sa vie contient un
air, parfois, impossible d’expliquer. Comment aura pu, un homme du XIXe siècle
décrire les « problèmes » de la société de dizaines d’années postérieures, même plus tard que
sa mort ? Comment aura-t-il été capable de réveiller les envies et les intérêts
par le progrès de générations de gens ? Il est le seul qui savait la
vérité, étant conscient qu’il était « l’homme le plus inconnu ».
Présentation de Jules Verne
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