jeudi 3 janvier 2013

Gustave Flaubert


 
Gustave Flaubert (12 décembre 1821 à Rouen, Normandie) a été un écrivain français du Réalisme (XIXème siècle) connu, sur tout, grâce à son premier romain Madame Bovary. Flaubert a aimé la littérature dès son enfance, où il a édité un magasin dont il a acquis ses idées d’écriture plus tard, étant adulte.

 
Son père étain un important médecin de l’hôpital de Rouen et sa mère faisait partie de l’une des plus anciennes familles de la Normandie.

 
Tant à ses études, il était considéré très fainéant, voire avoir été initié dans la littérature à l’âge de 11 ans. Comme écrivain, essayait toujours de trouver le mot parfait, quelque chose similaire à la façon d’écriture de Benito Pérez Galdós en Espagne, appartenance au Réalisme espagnol.

Sur son premier roman, son père a inspiré le personnage du docteur Larivière, le médecin le plus sage de l’œuvre.

 
En 1846, son père et sa sœur sont morts et il a pris la custodie de sa nièce. C’est à ce moment-là où commence une relation difficile avec la poétise Louise Colet qui a duré dix ans et dont on conserve les lettres qu’il lui envoyait. C’est la seule relation sentimentale qu’on connait de Flaubert, qui ne s’est jamais marié.

 
Deux ans plus tard, en 1846 a contemplé la Révolution de 1848 et la a critiqué dans son livre L’éducation sentimentale. Durant le Seconde Empire Français a eu une étape très libérale et a connu George Sand (Aurore Dupin).


En général, Flaubert était un homme bizarre. Était très timide, sensible et arrogant. Il plongeait du silence sourd à un parler continu et très haut qui lui donnait une semblance de fou. Il désespérait des fois et autres il semblait profiter d’une vitalité et joie de vivre folle. Il était un homme solitaire et rétracté. Il était épileptique depuis son enfance et avait une conduite certainement obsessive avec l’écriture. Cette obsession lui a mené à la dépression (enthousiasme parfois) lorsqu’il commentait les aspects les plus heureux des classiques. Il était misanthrope aux derniers ans de sa vie et antibourgeois depuis son enfance.

 
Il est situé d’entre la génération d’écrivains romantiques, réalistes (Stendhal, Balzac) et naturalistes (Zola, Maupassant). Grâce à ses soucies vers l’humanité, il est considéré un grand moraliste et toutes les lettres envoyée entre lui et George Sand, Louise Colet etc, sont considérées  de beaucoup importance.

 
Ses romans sont les suivants :

Oeuvres:

Lettres

  • Lettres à la municipalité de Rouen, 1872
  • Lettres à George Sand, 1884
  • Correspondance, 4 vol., 1887-1893
  • Lettres à sa nièce Caroline, 1906
  • Lettres inédites à Georges Charpentier, 1911
  • Lettres inédites à la princesse Mathilde, 1927
  • Correspondance, 9 vol. 1926-1933 et Supplément, 4 vol. 1954
  • Lettres inédites à Tourgueneff, 1946
  • Lettres inédites à Raoul Duval, 1950
  • Lettres d'Orient, 1990
  • Correspondance 6 vol. : tome I (1830-1851), 1973 ; t. II (1851-1858), 1980 ; t. III (1859-1868), 1991 ; t. IV (1869-1875), 1998 ; t. V (1875-1880).
 

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